Radicali.it - sito ufficiale di Radicali Italiani
Notizie Radicali, il giornale telematico di Radicali Italiani
cerca [dal 1999]


i testi dal 1955 al 1998

  RSS
sab 23 nov. 2024
[ cerca in archivio ] ARCHIVIO STORICO RADICALE
Archivio Partito radicale
Pannella Marco, Geille Annick - 28 maggio 1985
"La presse italiane a été complice des BR" (*)
Interview de Marco Pannella

(PLAYBOY, 28 mai 1985)

LES BRIGADES ROUGES SONT-ELLES EN TRAIN D'ATTEINDRE LEUR BUT AVOUE: DESTABILISER LE JEU POLITIQUE ITALIEN ET REVELER LE ``VRAI'' VISAGE DU POUVOIR EN ITALIE?

R: Les ``Brigades Rouges'' ce n'est que des gens fanatiques et déséspérès qui ont choisi l'assassinat, le meurtre, pour des raisons que le psychiatre aussi bien que le sociologue peuvent expliquer. Il s n'ont assassiné qu'une vingtaine de personne dans une année. La ``mafia'' en a tué 180, la camorra 120, les gouvernements aumoins 30 millions, par faim et armes.

Laur but est dons sans importance. Le problème est autre: ils servent au régime, et à ses partis. A chaque cadavre que les BR fournissent, l'on peut effacer la politique de l'ecran, cette politique qui risque de faire crouler le pouvoir corrompu ecorrupteur après trente ans.

A L'AVENIR, LA PRESSE PEUT-ELLE OBSERVER LA MEME ATTITUDE QUE DANS L'AFFAIRE DU JUGE D'URSO SANS MENACER LA LIBERTE D'EXPRESSION EN ITALIE?

R: La presse italiane a été complice des BR, le voulant ou pas. Pendant cinque ans nous avons denoncé le fait que le preze et la television faisaient propagande politique aux BR, à l'occasion de chaque enlevement ou meuttre. Nous avons été les seula à protester. On a essayer, ensuite, à proclamé le ``black-out'' alors que la vie du juge D'Urso etiat en cause: les BR ne demandaient que les journaux continuent à respecter les stupides etinfames règles du jeu qu'ils avait dicter eux-mêmes... Dons nous sommespour que un meutre classer dans les faits divers, sans en faire l'occasion pour de la propagande des BR, si importante pour ceux qui ne veulent pas ecrire un moto pur la corruption de la DC, et la complicité du PCI.

DANS CETTE MEME AFFAIRE, QUE PENSEZ-VOUS DE L'ATTITUDE DU CONSEIL DE L'ORDRE DE LA PRESSE?

R: Le conseil de l'ordre est une organisation corporatiste, dans le sillon de la culture fasciste, petainiste. Il ne compte rien. En tant que journaliste et député et radical j'en si toujours demandé la abolition.

VOTRE POSITION SUR L'EXISTENCE DES QUARTIERS DE HAUTE SECURITE DANS LE PRISONS?

R: Ils repondent aux exigences des brigatistes. Les Brigates s'y composent et organisent. Elles deviennent officiel et elles sont nourris et organisé, ainsi, par l'Etat. Tel prison de ce genre, et devenue une sorte de couvent de moines guerriers, de feroces Templiers modernes.

Ce n'est pas un hasars, ni sans relief: beaucoup des leaders terroristes italiens etaient des enfants de coeur, et des militants de L'action Catholique, ensuite du Parti Comuniste...

Ils s'estiment des anges guerriers et justiciers: Saint Geo'ges ou Saint Michel...

QUELLE MISSION VOUS ETES-VOUS DONNE AU PARLEMENT EUROPEEN?

R: Pas de mission: nous ne sommes ni des missionaires ni des convaincus d'aucune religionn. Mais nous representons le peuple européen. On essaye de nous ballaoinner ou de nous corrompre. On nous laisse pas le temps de parler: alors nous puisons dans l'histoire europeenne. Waterloo nous inspire et nous disons tout haut, ainsi que Cambronne, ce qui peut etre dit, clairement, dans les secondes de parole que l'on nous ectroye.

(*) Interview reproduite de l'original tapé à la machine

 
Argomenti correlati:
playboy
d'urso giovanni
parlamento europeo
stampa questo documento invia questa pagina per mail