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Partito Radicale Centro Radicale - 20 maggio 1997
PE/IRAN

LE PE RECLAME LA FIN DU DIALOGUE CRITIQUE

16/05/1997 (Agence Europe)

En adoptant une résolution commune à six groupes politiques sur l'Iran, le PE a exigé du Conseil de l'UE qu'il mette en place une politique commune et solidaire entre tous les Etats membres en qui concerne leur représentation diplomatique en Iran, et l'a invité à mettre définitivement fin au dialogue critique avec Téhéran et à renforcer le dialogue avec tous ceux qui oeuvrent pour la transformation de l'Iran en un Etat démocratique. Au cas où l'Iran ne prendrait aucune mesure positive, l'UE est invitée à trouver les moyens d'exercer sur les autorités de Téhéran une pression plus forte et qui aille en s'accroissant progressivement. Au cours du débat, le libéral suédois Hadar Cars a apporté son soutien à tous ceux qui luttent contre le régime iranien, et le socialiste autrichien Johannes Swoboda a dit que le dialogue critique "n'a pas été suffisamment critiqué ou pas assez dialogue", et doit donc être abandonné. Olivier Dupuis, de l'Alliance radicale, a demandé s'il est possible de créer une radio "voix de l'E

urope" pour offrir aux Iraniens une autre source d'information que celle contrôlée par les mollahs, et Luciano Pettinari (gauche unitaire, italien) a demandé que l'on mette fin à la coopération économique et commerciale avec l'Iran. Le Vert allemand Wilfried Telkämper s'est demandé pourquoi l'ambassadeur d'Italie est encore à Téhéran, et Giorgos Dimitrakopoulos, élu de Nea Demokratia, a estimé que le Conseil a le devoir de présenter une nouvelle conception des relations de l'Union avec l'Iran. ECHO mettra 3 millions d'Ecus à la disposition des victimes du récent tremblement de terre par le biais des ONG, a indiqué le Commissaire Hans van den Broek avant d'aborder les aspects politiques des relations euro-iraniennes. "Ni la position isolationniste des Etats-Unis ni le dialogue critique de l'Union européenne n'ont permis d'améliorer la situation", a-t-il constaté, tout en estimant qu'il serait très peu judicieux de la part de l'Union de couper toutes relations avec ce pays. "Certains au Conseil préconisent une

politique de sanctions, mais je crois qu'il faut attendre les réactions de Téhéran à la suspension du dialogue critique", a-t-il ajouté. Enfin, il a précisé que le gouvernement italien n'a pas encore pris de décision sur le rappel de son ambassadeur.

 
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