André Velter. Editions Gallimard.
En plusieurs facettes, un poème, celui du "troisième pôle de la terre", là, dit l'éditeur, où les boussoles s'essoufflent et perdent leurs repères.
L'auteur se défend de toute piété bouddhiste, mais ne peut éluder la rencontre avec cette force, cette intensité, ces visions quasi magiques, et cette ivresse que l'altitude seule ne suffit à expliquer. On évoquera le "Thibet" de Segalen pour ce long poème, cette traque fervente du pays blanc.
(Source: Lettre du Tibet n. 31, nov 95) (TIBET INFO 20 novembre)