Radicali.it - sito ufficiale di Radicali Italiani
Notizie Radicali, il giornale telematico di Radicali Italiani
cerca [dal 1999]


i testi dal 1955 al 1998

  RSS
mer 23 apr. 2025
[ cerca in archivio ] ARCHIVIO STORICO RADICALE
Notizie Transnational Fax
Agora' Agora - 31 ottobre 1989
LE PARTI TRANSNATIONAL - DEMOCRATIE ET HONGRIE: LES CONGRES DU POSU, DE LA FIDESZ, DU MDF ET DU SDS - LES DECLARATIONS ET LES INTERVENTIONS DES REPRESENTANTS DU PARTI RADICAL.

SOMMAIRE: Pour la délégation du Parti Radical - l'unique non proprement hongroise à avoir été invitée au Congrès du POSU - la Hongrie court deux risques: la reproposition du système électoral proportionnel et le "non-alignement". Au Congrès du Forum Démocratique, les radicaux indiquent dans la fédération européenne, le lieu pour le dépassement des conflits nationaux et ethniques. S'il est vrai que l'Occident a rejoint un niveau de développement économique élevé, on ne peut pas dire par contre - affirment les radicaux intervenus au congrès des jeunes démocrates hongrois - que le même niveau ait été conquis sur le plan des libertés et des droits civils et politiques. En intervenant au Congrès des Démocrates Libres, Anne Losonsczy a soutenu la nécessité de la Hongrie à adhérer à la Communauté Européenne. L'adhésion à la Cee, comme l'a prouvé l'expérience portugaise et espagnole, pourrait renforcer l'économie et la société politique, en rendant en même temps irréversible le retour à la démocratie.

******************************************************************

* 9 Octobre 1989 *

HONGRIE: DELEGATION RADICALE AU CONGRES DU POSU.

DECLARATION DU PREMIER SECRETAIRE DU PARTI RADICAL SERGIO STANZANI.

Rome, 9 Octobre - N.R. - Une délégation du Parti Radical transnational, composée par le Premier Secrétaire du Parti Radical, Sergio Stanzani, et par le Conseiller Fédéral Anne Losonczy, fille du Ministre du Cabinet Nagy, a participé, depuis vendredi matin, aux travaux du Congrès du POSU. Il s'agit de l'unique délégation officielle non proprement "hongroise", invitée parceque le Parti Radical, en tant que Parti Transnational, opère aussi en Hongrie,

Sergio Stanzani a fait la déclaration suivante:

"Il n'est pas superflu de souligner le caractère nonviolent et la portée révolutionnaire de ce Congrès, C'est une chose bien connue en Hongrie comme partout ailleurs dans le monde. Je préfère mettre l'accent sur les très gros risques que je vois peser encore maintenant sur le processus en cours. Je le fais non pas pour faire l'oiseau de mauvaise augure, comme nous l'avons toujours fait depuis que nous avons établi des rapports avec les forces politiques hongroises, mais pour essayer de donner notre franche contribution de parti transnational, démocratique, nonviolent, fédéraliste européen, à cette révolution démocratique en cours.

Je crois que les plus grands risques que court aujourd'hui la Hongrie sont principalement de deux types. D'abord, celui de reparcourir la voie, nostalgique ou pas, du système électoral proportionnel, de ce système qui a produit en ce siècle, avec les "démocraties réelles" - engendrées par des systèmes partitocratiques nationaux, consolidés et rendus inamovibles par la répartition et la lotisation du pouvoir, qui ont rendu vaine l'essence même de l'état de droit - de grandes tragédies, même en Hongrie et qui, aujourd'hui, constitue l'un des plus grands obstacles à la détermination sur le continent de la volonté et des capacités substancielles de gouvernement, aptes à affronter et à dépasser les grands défis qui caractérisent de façon dramatique la fin de ce millénaire.

Le deuxième risque pour la Hongrie peut-être celui de poursuivre, tant pour de mythiques raisons d'équidistance, tant par nostalgie, la voie désormais dépassée d'un futur national, neutre, "non-aligné". Il y a donc d'un coté, le choix entre le système anglosaxon, avec une opposition de deux ou de quelques thèses, pour le gouvernement de la grande réforme démocratique, et le système proportionnel, de compromis, de répartition du pouvoir.

De l'autre coté, le choix entre l'option fédéraliste européenne avec l'immédiate et explicite demande d'adhésion à la Communauté européenne, et les voies nationales, neutre "autrichienne" ou "non-alignée" yougoslave, toutes deux dépassées.

Ce sont-là des choix qui peuvent déterminer le futur de la Hongrie, mais c'est aussi par ces choix que les hongrois pourront déterminer le futur de l'Europe entière. Je suis donc convaincu que c'est également sur ces questions que les électeurs hongrois devraient être appelés à se prononcer.

Le Parti Radical, en poursuivant l'engagement qui l'a amené à tenir son dernier Congrès en Hongrie, et conscient de la responsabilité de sa propre présence dans ce Pays, n'entend pas se soustraire à son devoir de contribuer, en vue des prochaines élections, au développement démocratique du Pays."

* 20 Octobre 1989 *

HONGRIE: SALUTATIONS DU PARTI RADICAL TRANSNATIONAL AUX PARTICIPANTS DU CONGRES DU MAGYAR DEMOCRATAK FORUM.

Budapest, 20 Octobre 1989 -N.R- Le texte des Salutations du PR aux participants du Magyar Democratak Forum, qui s'est terminé hier à budapest.

Chers amis

La participation de votre porte-parole, KISS Gy. csaba à notre congrès, ses paroles-mêmes, ont démontré la réalité et la consistance des terrains de pensée mais surtout d'engagement politique qui nous sont communs. En particulier, le refus de l'identification de l'état et de la nation, et la défense conséquente des droits des minorités.

Ces préoccupations qui nous sont communes risquent cependant de ne porter à aucune occupation commune, à aucun engagement concret commun, si l'on n'affronte pas la question du tableau général d'une résolution possible de ces problèmes, mais aussi du problème général de parachèvement du processus de démocratisation en cours dans votre pays, et dans lequel votre organisation a assumé et assume encore un rôle de premier plan.

En tant que parti transnational, nous croyons que tout comme il n'y a pas de solution au problème basque dans le cadre espagnol, à celui del'Irlande du Nord dans le cadre de la Grande Bretagne, à celui du Kosovo dans le cadre de la Yougoslavie, il n'y a pas de solution pour les minorités hongroises et saxonnes dans le cadre roumain, ou même - si le régime de Bucarest n'était pas celui qu'il est aujourd'hui - dans le cadre roumain-hongrois. Nos espoirs nous ont amené à penser que, seulement dans le cadre d'une union fédérale des états libres d'Europe, ces problèmes pourront trouver leur juste siège de résolution.

Sur un autre plan, nos expériences nous ont amené à penser que la voie d'une interdépendance librement choisie dans le cadre fédéral européen, était la condition pour chacun de nos états, pour préserver ses caractères personnels, ses richesses personnelles, non seulement culturelles et humaines. De la même façon, nous croyons aujourd'hui que dans les pays de l'Europe Centrale et Orientale, la voie de l'interdépendance est aussi la condition pour une effective conduite des processus de transformation en cours, et qu'elle est donc déterminante pour le succès du processus - politique mais aussi économique et social - de démocratisation de votre Pays.

L'autre voie, la voie indépendante, nationale et neutre, ne peut pas ne pas signifier aujourd'hui pour la Hongrie, la dépendance, l'impossibilité, face aux géants mondiaux de l'économie et de la politique, de gouverner et de contrôler effectivement les changements dans votre Pays. Et nous ne pouvons pas ici ne pas rappeler l'hypocrisie de ceux qui, en Europe Occidentale, vous encouragent à poursuivre dans cette voie, alors qu'eux-mêmes, en commençant par les dirigeants de pays comme la France, de l'Allemagne Occidentale, l'Italie, l'ont déjà abandonnée en grande partie et s'apprêtent à l'abandonner tout à fait.

C'est justement cela qui nous semble aujourd'hui le point central pour le futur de la Hongrie mais non pas seulement de la Hongrie: le choix entre la voie indépendante et nationale et la voie interdépendante et fédérale européenne. Nous souhaitons et nous essaierons, avec humilité et avec détermination, de travailler afin que les électeurs hongrois soient appelés à se prononcer sur cela, à l'occasion des prochaines élections. En espérant de pouvoir cultiver ensemble au cours des prochains mois, ces espoirs communs, nous vous souhaitons un bon et profitable travail de congrès.

Parti Radical Transnational

via di Torre Argentina 18 - Roma

Tanacs Krt 11 - Budapest

* 21 Octobre 1989 *

INTERVENTION DE LA DELEGATION RADICALE AU CONGRES DE LA FIDESZ

Au Congrès de la Fidesz (Fédération des jeunes démocrates) qui s'est déroulé à Budapest du 20 au 22 Octobre 1989, une délégation du PR, a participé, composée par Ferenc Parcz, Olivier Dupuis, Sandro Ottoni, Vito Cesmadziski, Massimo Lensi.

Voici une synthèse du texte de cette intervention:

..."Vous dites dans votre programme que l'Occident a atteint un niveau de développement économique et de liberté jamais atteint auparavant.

Cela est certainement vrai en ce qui concerne le développement économique.

Cependant il ne faut pas oublier qu'il existe dans nos sociètés de forts pourcentages de marginaux, de personnes âgées, d'émigrés, de jeunes exclus du système scolaire, qui sont souvent ceux-là même, qui par désespoir, s'adonnent à la drogue et par conséquent à la délinquence...

Il ne faut pas oublier non plus que ce développement est resté un développement du Nord du monde, d'un Nord incapable d'inclure dans ce processus, sinon par propre intérêt , le Sud du monde, qui au contraire, a empiré toujours davantage. Et cela a engendré et continue d'engendrer, la faim, les famines qui ont produit l'extermination par la faim, de dizaines de millions de personnes chaque année.

Vous dites dans votre programme que l'Occident a aussi atteint un niveau de liberté jamais atteint auparavant. Permettez-nous de ne pas être du tout d'accord avec votre affirmation . Elle nous semble fondée sur une vision de la démocratie comme une recette définitive qui ne la voit pas comme un processus évolutif. Elle ne tient pas compte de l'incroyable régression du quatrième pouvoir, du pouvoir de l'information, qui est devenu littéralement un pouvoir à l'intérieur du pouvoir, en mesure de conditionner l'entière socièté, beaucoup plus même, parceque beaucoup plus sophistiqué que dans les sociètés de socialisme réel.

Et cette dégénérescence du système de l'information est liée à une dégénérescence plus profonde que les systèmes dits démocratiques: la dégénérescence partitocratique, favorisée par les systèmes électoraux proportionnels des démocraties continentales. Selon ce système, qui n'est pas "la" démocratie, les partis gèrent toutes les sphères du pouvoir de la socièté, en commençant par le système de l'information comme nous l'avons déjà vu, mais aussi de la justice, des entreprises nationalisées, des mairies, de la fonction publique...

Dans ces systèmes, ce n'est plus la démocratie qui veille, mais plutôt la "démocratie réelle", démocratie réelle qui est à la démocratie comme le socialisme réel est au socialisme, une pure parodie. C'est pour cela que nous luttons dans nos pays, pour la réforme des systèmes électoraux, pour l'instauration de systèmes substanciellement bipartitiques, anglosaxons, les seuls capables de représenter pour les gens, de grands programmes alternatifs de gouvernement des grands problèmes de notre temps.

Nous savons très bien que bon nombre d'entre vous pensent et disent même: "il vaut mieux de toutes façon cette démocratie réelle que notre système actuel". Mais cela est absurde parce qu'il ne fait pas le moindre doute que la voie à prendre aujourd'hui en Hongrie, est celle de la démocratie. Le problème est de la construire, et non pas de reproduire purement et simplement celle d'il y a quarante ans, ou bien celle des autres pays, sans même vouloir voir les mauvais fonctionnements, les dégénérescences ou tout simplement les changements sociaux qui sont advenus durant toutes ces dernières années et dans tous ces pays...

Certes dans votre programme, nous avons entendu parler de solidarité nécessaire avec les autres pays de l'Est européen. Mais l'ébauche générale est celle de la voie nationale hongroise au sortir de la crise. Nous sommes convaincus au contraire que l'unique façon de gouverner ce processus, et donc également l'afflux de capitaux étrangers, qui ne manquera pas, est celui de l'intégrer dans un projet plus vaste, un projet d'interdépendance, l'unique qui puisse être effectivement contrôlé, c.à d. dans un processus qui voit votre pays commencer dès à présent, le processus d'adhésion à la Communauté européenne."

******************************************************************

* 27 Octobre 1989 *

INTERVENTION D'ANNE LOSONCZY AU CONGRES DES LIBRES DEMOCRATES

Budapest - N.R. - 27 Octobre 1989 . Intervention d'Anne Losonczy, membre du Conseil Fédéral du Parti Radical au Congrès des Libres Démocrates (SDS)

Chères Amies et Chers Amis

C'est avec une grande joie, avec une profonde émotion, que je suis aujourd'hui ici parmi vous. C'est une présence qui est pour le moins singulière étant donné que je suis ici en tant que représentante du Parti Radical mais en même temps, en tant que nouveau membre de l'Alliance des Libres Démocrates (SDS). Cette inscription, cette double appartenance, illustre de la façon la plus claire, l'une des idées fondamentales de la pratique radicale d'aujourd'hui: l'idée transpartitique, ou encore, l'indispensable complémentarité de l'engagement politique, d'un côté, dans une organisation dont les objectifs sont profondément enracinés dans une réalité nationale, et de l'autre, au niveau transnational, pour créer un espace politique dans lequel il est possible de donner des solutions aux multiples problèmes qui vont au-delà du cadre strictement national.

Qui peut raisonnablement penser aujourd'hui que les problèmes comme ceux de la digue sur le Danube, des minorités hongroises dans les pays voisins, de la crise économique, de notre place dans le monde, puissent être résolus dans le simple cadre national ?

Pour ces raisons-là, nous autres radicaux nous pensons qu'il est nécessaire que la Hongrie fasse sans tarder, sa requête d'adhésion à la Communauté Européenne. L'adhésion à la CEE, comme l'ont prouvé les expériences portugaises et espagnoles, a été un moteur qui a renforcé et stimulé l'économie et la socièté politique de ces pays-là et leur a permis, en l'espace de quelques années, de rejoindre les autres pays membres, en rendant de cette manière, le retour à la démocratie, irréversible.

L'héritage politique, le programme, les idées et les batailles politiques des Libres Démocrates, ne laissent aucun doute sur leur capacité et leur volonté de s'engager dans cet objectif historique: la requête d'adhésion de la Hongrie à la Communauté Européenne dans la perspective de la création des Etats-Unis d'Europe.

Il est évident que dans une telle perspective, le Parti Radical transnational serait non seulement prêt mais encore heureux de mettre à disposition dès à présent, ses structures et ses expériences transnationales, ainsi que le soutien de ses députés au Parlement Européen.

Il ne fait aucun doute que les inscrits au Parti Radical, et en particulier les inscrits hongrois, ne manqueraient pas de participer avec enthousiasme à une telle action transpartitique, comme ils le font pour la défense des minorités et ils le feront le 15 Novembre, devant les ambassades roumaines de 10 capitales d'Europe, de cette Europe comme nous la voulons, de Lisbonne à Moscou, de Bruxelles à Budapest.

Pour ceux qui me connaissent et que je connais dans cette salle, il est évident que ces salutations n'ont rien de rituel. J'espère que vous pourrez, que nous pourrons - étant donné que désormais je suis également membre du SDS - en débattre durant ces journées de congrès. J'espère aussi - je l'espère vivement - qu'il sera possible d'adopter une résolution dans la direction que je viens d'indiquer.

******************************************************************

GLOSSAIRE HONGROIS

POSH: Parti Ouvrier Socialiste Hongrois (MSZMP); parti-état de l'après-guerre à nos jours. Il a été le parti de Imre Nagy, Janos Kadar, Laszlo Rajk, Gesa Loconczy. Il a été le parti des évènements de 56, mais aussi celui des réfugiés de la DDR. Plus que dans d'autres pays communistes, il a réellement représenté, dans le bien et dans le mal, la société et la politique hongroise. Actuellement il est pratiquement divisé entre les courants des Cercles Réformistes et les nostalgiques kadariens. Leaders: Karoli Grozs, Imre Pozsgai, Rieszo Nyers, Miklos Nemeth.

Au Congrès d'Octobre, il s'est transformé en Parti Socialiste Hongrois.

MDF: Forum Démocratique Magyar; fondé en Septembre 1987; il compte environ 17.000 membres dans toute la Hongrie; de type populaire et catholique, il est considéré comme l'une des plus grandes forces d'opposition; sa classe dirigeante s'est formée dans les couloirs du mensuel "HITEL", et le directeur, Zoltan Biro, en est le leader. Autres leaders: Sandor Csoori -écrivain-, Istvan Csurka, Jozsef Antall.

SZDSZ: Union des Libres Démocrates; fondée à la fin de 1988; il compte env. 7.000 membres, concentrés à Budapest; de tendance libérale il est composé surtout par une classe urbaine d'intellectuels et d'étudiants, ils combattent pour la sortie de la Hongrie du Pacte de Varsovie et pour des changements radicaux en économie; autres batailles: contre la pollution de Budapest et contre la Digue sur le Danube; droits civils et internationalisme entre les oppositions à l'Est. Leaders: Miklos Tamas Gaspar, Janos Kis, Imre Mecs, Miklos Vasarhelyi, Ferenc Koeszeg.

Fidesz: Ligue des Jeunes Démocrates, fondée en Mars 1988; elle compte env. 5.000 membres; difficile à situer idéologiquement, elle est composée surtout d'universitaires de Budapest, ils se battent pour le marché libre, contre le nucléaire, pour les droits humains, pour la démocratie parlementaire etc... On ne peut pas s'inscrire à la Fidesz au-delà de 35 ans. La direction du parti élu au dernier congrès est composé par 13 membres avec des responsabilités diversifiées. Leaders:

Parti des Petits Propriétaires: re-fondé en 1988; il compte env. 5.000 membres; nationalistes hongrois, ils essaient de construire leur consensus sur la base des principes d'une Hongrie populaire et nationale. Leaders: Imre Boross, Ivan Baba, Pal Dragon.

Parti Socialdémocrate Hongrois: re-fondé en 1987; il compte env. 10.000 membres; leur but est celui de porter la Hongrie sur la voie des réformes démocratiques et de modifier en forme social-démocrate les communistes du POSH; leur symbole est la rose dans le poing; leaders: Tibor Baranyai, Istvan Gasko, Andras Revesz.

Table Ronde des Oppositions (EKA): née dans le but d'instruire le Parlement Hongrois des projets de loi sur des questions comme la loi électorale, la Loi sur les partis et sur le financement public, les réformes économiques, l'éducation nationale. Ses décisions sont contraignantes pour les signataires. Le parlement peut seulement les rejeter, en les remettant à une discussion ultérieure de la TR mais il ne peut pas les modifier.

Elle est composée de trois côtés; dans le premier, siègent les représentants du POSH et du Gouvernement, dans le deuxième, les forces politiques d'opposition (MDF, SZDSZ, FIDESZ, le Parti Populaire Hongrois, le Parti Populaire Démocrate-Chrétien, l'Organisation Bajcsy-Zsilinszky, le Parti des Petits Propriétaires, le Parti Socialdémocrate et la Ligue Démocratique des Syndicats Indépendants), dans le troisième côté, les organisations sociales (Association de la Gauche alternative, le Front Populaire Patriotique, la Démisz -jeunesse communiste hongroise-, la Ligue Partisane Anti-fasciste, la Ligue des Femmes hongroises, le Cercle F.Munnich, le Syndicat SZOT).

 
Argomenti correlati:
stampa questo documento invia questa pagina per mail