Egon Bondy, Alias Zbynek Fiser

Poète et écrivain tchèque

"Le Parti Radical est transnational: c'est pour cela qu'il est moderne. J'apprécie cette entité, l'entité Parti Radical, justement parceque je suis un citoyen d'Europe Centrale, conscient que la grande question à affronter et à résoudre est celle de la réunification des nations européennes: Comme toutes les autres initiatives du Parti Radical, celle-ci est tournée vers le futur.

Je suis heureux de l'existence d'une telle organisation, qui sait voir la réalité des problèmes, comme pour la proposition antiprohibitionniste, le droit, les besoins du Tiers-Monde. Il est réconfortant pour un poète d'être parmi les personnes qui affrontent ces grandes questions avec honnêteté et non pas avec des palabres inutiles. Ce qui est important c'est que la connaissance du Parti Radical est surtout répandue parmi les jeunes, qui pourront ainsi trouver leur base pour affronter le XXIème Siècle. C'est vers cela que mon travail a toujours tendu à aller. Le Parti Radical est le brochet qui nage dans le lac plein de carpes paresseuses qu'est la politique européenne".

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Emil Iovanescu

Opposant au régime de Ceaucescu, responsable du Mouvement démocratique "Roumanie Libre".

"Je suis entré en contact avec les militants du Parti Radical transnational à l'occasion de leur congrès de Budapest. Ensuite nous nous sommes revus à plusieurs reprises à l'occasion d'initiatives sur la Roumanie. Je crois que le Parti Radical, par ses succès obtenus dans ses batailles pour la liberté et la dignité humaine, afin que les droits de l'homme soient respectés, par sa lutte incessante pour les Etats-Unis d'Europe, peut représenter une force politique déterminante pour empêcher que les nationalismes exacerbés ne provoquent des tragédies en Roumanie ou ailleurs.

Le Parti Radical peut-être une force qui en agissant de l'intérieur et de l'extérieur de mon pays, le fasse retourner en Europe. En tant que citoyen roumain et futur citoyen d'Europe, je considère que ma place se trouve tout naturellement au Parti Radical Transnational.

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Nadezhda Bogatikova

Député au Soviet Régional de Moscou

"Je me suis inscrite au Parti Radical lorsque j'ai connu les objectifs politiques de ce parti. En particulier la lutte contre la peine de mort. Ce problème me préoccupe déjà depuis quinze ans. Personne n'a le droit de disposer de la vie de quiconque. La violence abaisse le prix de la vie elle-même. L'abrogation de la peine de mort est la seule chance pour éviter de payer ce prix.

Je fais partie de l'organisation "Mémorial" qui lutte pour les droits de l'homme, ce qui se trouve aussi au coeur de l'existence du Parti Radical. Je considère de mon devoir la lutte pour la libération des personnes emprisonnées parcequ'elles luttent pour les droits de l'homme. En URSS ces droits ne sont absolument pas assurés. Et enfin, je considère la lutte du Parti Radical pour les Etats-Unis d'Europe comme la seule possibilité pour résoudre une bonne partie des très nombreux problèmes de l'Europe.

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Virginio Bettini

Membre du Parlement Européen, écologiste

"J'avais soutenu - au Congrès radical de Rimini en Avril 1989 - que je ne me serais inscrit à aucun parti. Ensuite j'ai regardé les choses de plus près, surtout l'engagement radical transnational et antiprohibitionniste, et je me suis convaincu que - sans faire beaucoup de bruit - les radicaux ont donné une grande contribution à la nouvelle phase de démocratisation de l'Est et qu'ils n'ont pas fait de cela toute une histoire, comme d'autres forces politiques ou mouvements l'auraient fait. Le modèle transnational qui semblait être une provocation, est au contraire la seule forme politique organisée plausible.

L'antiprohibitionnisme, enfin, me semble être - avec l'écologie - l'une des meilleurs choses que l'on est en train de produire en politique. Il me semble extrêmement important de combattre le nouvel autoritarisme fondé sur la persécution de l'individu désarmé et sur la complicité avec les trafiquants".

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Remo Csok

Ingénieur civil, membre de la Commission des Affaires Etrangères de l'Alliance des Libres Démocrates Hongrois (SzDSz)

"J'ai adhéré au Parti Radical transnational parce que c'est l'unique parti qui a, entre autres objectifs principaux, la réalisation sans violence des Etats-Unis d'europe entendus comme alliance de Pays démocratiques, fondés sur l'Etat de Droit, et je lutte dans cette perspective pour l'adhésion la plus rapide possible de la Hongrie à la CE. C'est seulement ainsi que l'on pourra résoudre le problème des minorités d'Europe. Le Parti Radical est le seul parti qui, parce que transnational, est en mesure d'aider à la réalisation de ces objectifs".

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Arnold Trebach

Fondateur de la Drugs Policy Foundation

"J'ai pris la carte du Parti Radical comme signe visible d'un américain qui entendait protester contre le gouvernement de son propre Pays pour l'intervention effectuée à Panama pour arrêter Noriega et que je considère comme une véritable sequestration de personne. Je pense que Noriega mérite la prison mais mon Pays a des lois qu'il doit respecter sans jamais manquer de rechercher des méthodes dépourvues de violence.

Je suis inscrit au Parti Radical et je suis membre de la Ligue Internationale Antiprohibitionniste, pour la même raison pour laquelle j'ai fondé la Drugs Policy Foundation: je ne crois pas aux réponses "fortes", je suis contre la violence et je suis pour le respect de la loi".