- Monsieur le Député, c'est nous-mêmes qui avons, avec le Parlement européen, parlé du principe de subsidiarité. Nous légiférons le moins possible. Nous venons, je le répète, de créer un comité chargé de voir en quoi les règlements européens ou nationaux constituaient des obstacles à la compétitivité des entreprises et à la création d'emplois.
Mais puis-je vous poser une question? Est-il normal que lorsqu'un travailleur est employé dans une entreprise multinationale, il ne soit pas informé et consulté sur la vie de l'entreprise comme cela se fait généralement à l'échelon des entreprises nationales? Si vous trouvez cela normal, alors nous pouvons prendre tout de suite notre retraite et arrêter de travailler.
(Applaudissements)