Je voudrais ajouter un point de vue qui sort du débat purement technique mais qui semble relever du simple bon sens.
Sans mettre en cause les personnes, on peut s'étonner que sur un problème aussi grave, aussi conflictuel mettant en présence deux États membres, le rapporteur et le président de la Commission puissent appartenir à deux des pays protagonistes. Le fait que cela puisse se produire revient à jouer aux apprentis sorciers dans la mesure où cela appelle forcément une levée de bouclier de la part de l'autre État membre.
En tant que nouveau député européen je ne souhaite pas que la guerre du thon se poursuive en tant que telle au sein de cette enceinte. Nous devons dépasser les antagonismes nationaux.