Monsieur le Président, c'est sur cette partie-là de l'ordre du jour que je voudrais manifester mon étonnement. Par rapport au projet que nous avions reçu, celui du 6 octobre, il y a une différence concernant le début de la discussion sur le budget, laquelle discussion est reportée à demain matin.
Étant membre de la commission des budgets, je sais que nous avons réunion tout à l'heure et que c'est alors que nous nous prononcerons sur les rapports. Je m'étonne néanmoins que cela se traduise par une réduction du temps global qui avait été prévu pour la discussion budgétaire et que les points qui figurent aujourd'hui à l'ordre du jour se substituent à la discussion que nous devions avoir cet après-midi sans qu'il y ait un report d'une durée analogue, ce qui fait que nous allons collectivement disposer de 120 minutes pour nous prononcer sur l'un des actes les plus importants de nos discussions parlementaires, c'est-à-dire le budget. On a placé mercredi après-midi deux questions orales qui sont relatives, respectivement, au racisme et à la xénophobie et à la concentration dans les médias. Je voudrais vous dire, Monsieur le Président, qu'il ne me paraît pas normal de ne pas avoir prévu plus de temps pour la discussion budgétaire.
(Applaudissements)