Madame le Président, chers collègues, le problème de la liberté et du pluralisme des médias est effectivement à l'ordre du jour. Un conformisme social pesant, renforcé par des lois liberticides comme la loi Gayssot en France, étouffe la liberté d'expression.
Les concentrations économiques ne sont pas la seule cause de cette mise au pas des médias, au bénéfice de l'idéologie cosmopolite au pouvoir. Les pressions des pouvoirs politiques, les pressions de certaines obédiences comme le Grand Orient de France, de certains lobbies culturels, cultuels ou ethniques, font règner un conformisme médiatique pesant et hostile aux valeurs traditionnelles de la nation et de l'Occident.
Le seul remède, dans l'immédiat, pour défendre le pluralisme, est le recours à l'expression directe du peuple. Le référendum d'initiative populaire permet aux majorités opprimées par les médias de s'exprimer sur le plan politique. Les exemples suisse ou californien le montrent bien. Institutionnellement, la démocratie directe est sans doute actuellement le meilleur contre-pouvoir à opposer à la dictature de la pensée qu'impose le conformisme cosmopolite des médias.