Cher Monsieur,
Marco PerDuca, du Transnational Radical Party à New York, m'a indiqué que vous seriez d'accord de répondre à une interview sur le thème de la peine de mort. Par avance, je vous remercie sincèrement pour votre disponibilité à répondre à cette interview.
Je suis responsable de la publication d'un petit bulletin d'information pour l'ACAT-Suisse (Action des Chrétiens pour l'Abolition de la Torture), dont le titre est "SOS Peine de mort". Parallèlement à ce bulletin, l'ACAT-Suisse a également un réseau d'intervention qui fonctionne sur le mode des "urgent actions" d'Amnesty International, mais qui s'occupe uniquement de cas de condamnés à mort. Le bulletin "SOS peine de mort" est envoyé à environ 2'600 personnes, tandis que le réseau d'intervention ne compte que quelques centaines de membres. Notre bulletin paraît trois à quatre fois par année, à chaque fois avec un article de fond suivi de nouvelles brèves concernant la situation de la peine de mort dans le monde.
Pour notre prochain numéro, je souhaiterais avoir le point de vue d'une personne qui travaille au sein d'une institution internationale et qui a, notamment, comme but de se battre pour l'abolition de la peine capitale.
Notre prochain bulletin paraîtra soit en octobre, soit en novembre. Je serai pour ma part absent entre le 15 et le 30 septembre. Ce qui nous laisse deux possibilités. Soit je vous fais parvenir au plus vite (probablement autour du 8 septembre) un certain nombre de questions, et vous arrivez à me répondre avant le 12 septembre (ce qui me laisse juste le temps de mettre en page le bulletin et de l'envoyer à l'imprimerie avant mon départ), soit nous nous donnons un peu plus de temps, et je vous recontacterai au début du mois d'octobre. La seconde proposition me conviendrait mieux, mais c'est à vous de décider, selon vos disponibilités.
A titre indicatif, je souhaiterais avoir une interview assez longue, probablement autour des 8.000 signes.
Dans l'attente de votre réponse, je vous envoie, Cher Monsieur, mes toutes bonnes salutations.
Philip Grant
"Un seul combat est perdu d'avance: celui qu'on ne livre pas." (Vaclav Havel)
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