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Pannella Marco - 9 gennaio 1988
INTERVIEW A MARCO PANNELLA PAR DRAGOS KALAJIC
(DUGA, 10 décembre 1988)

QUI A PEUR DES SEINS DE CICCIOLINA

D'une manière latine, avec fatuité, Marco Pannella a donné quelques conférences de presse, en s'étonnant que l'événement que constituerait le congrès de son Parti Radical transnational à Zagreb ne soit pas autorisé. De l'avis modeste du rédacteur de ces lignes, le métier qui s'appelle la politique offre au moins mille formules pour refuser de façon élégante l'hospitalité au congrès déjà mentionné, mais on a choisi celle justement qui conforte la réputation d'une Yougoslavie limitant les libertés et les droits de l'homme. Dire qu'une semblable "petite partie" puisse déstabiliser la Yougoslavie ne peut être pris au sérieux par personne de sérieux. Quoiqu'il en soit, on a perdu l'occasion de se faire de la publicité, d'offrir une contribution au tourisme de congrès à Zagreb et de faire plaisir aux sexualités locales qui auraient pu voir et toucher les seins de Ciccolina, connus dans le monde entier.

Chaque fois, quand par hasard à la télé mon regard pénètre dans les labyrinthes de la galerie des personnages de l'establishment yougoslave, il s'arrête étonné devant le visage de Stefan Korosec, le sécretaire de la Ligue communiste Yougoslave. Dans cet amas des visages trop souvent fatigués, sombres, graisseux et hypocrites, cette figure se distingue remarquablement par des lignes qui montrent un poids de l'âme extraordinaire, provoquant en moi un sentiment de sympathie. Bien sûr, l'impression exprimée était justifiée par des raisons rationnelles, et je ne lui ai donné aucune importance jusqu'au début de la neuvième réunion de la Ligue communiste Yougoslave. C'est là, depuis sa tribune populaire, que Stefan Korosec a offert la légitimation intellectuelle de ladite sympathie, dans les termes antologiques et historiques de son orientation européenne.

"La liaison fonctionnelle et de développement de la Yougoslavie avec la CEE et le COMECON, n'est qu'une forme d'introduction de la Yougoslavie dans l'évolution en cours du commerce mondial. Mais cela n'entraîne pas de notre part de concessions politiques à qui que ce soit, et cela ne peut pas mettre en péril le caractère socialiste de notre société. Le rythme d'adaptation à cette évolution, le rythme de nos réformes, doit être la base qui permettra au Conseil Executif fédéral d'estimer les futures possibilités de rapprochement vers la CEE, tenant compte de toutes les variantes possibles. Une de celles-ci vise l'association de la Yougoslavie à la CEE pour un certain temps, en vue de devenir, dans un délai précis et détérminé membre de la CEE".

L'importance anthologique et historique de l'opinion énoncée demeure dans sa particularité: pour la première fois dans l'histoire de la Ligue communiste Yougoslave, au niveau le plus haut de cette organisation, la volonté de rejoindre la CEE et de contribuer à la construction d'une maison commune européenne était exprimée. Mon expérience de la vie m'assure que cette volonté est partagée par la grande majorité des Yougoslaves, à l'exception de ceux qui constituent, selon mon analyse statistique individuelle, les cas patologiques, allant du masochisme à l'idiotisme. A l'exception donc de ceux qui se réjouissent de leur propre échec jusqu'à ceux qui, selon la définition hélénique, ne voient rien au-delà de leurs intérêts égoistes. J'apprends de la même expérience que ceux qui sont contre l'idée que la Yougoslavie réjoigne la CEE, appartiennent en général aux catégories que je définirais par les terminologies "c" comme canibales, "a" comme analphabèthes, "i" comme idiots.

Malheuresement, cette volonté européenne est, chez les Yougoslaves, privée de sa force politique, et ce d'autant plus qu'elle est, pour une bonne part, aux mains d'une catégorie de gens appellés "le milieu". Le manque de force politique est très souvent le résultat d'un manque de décision politique, ce dont témoigne Stefan Korosec lui-même, d'une manière sympathique, dans sa déclaration sur l'adhésion de la Yougoslavie aux évolutions commerciales mondiales qui "ne comprend de concessions politiques à qui que ce soit".

Les concessions politiques sont indispensables

Si ladite affirmation exprime sincèrement une certaine conviction politique, cette "vue sur le monde" y reconnait donc un obstacle infranchissable à l'adhésion de la Yougoslavie à la CEE et aux évolutions commerciales mondiales. Alors, aucun pas vers cette adhésion n'est possible sans certaines concessions politiques, autrement dit sans un rejet décisif du ballast d'une politique complètement fausse et pernicieuse, et de ses protagonistes qui éloignent systématiquement la Yougoslavie de l'Europe et du monde developpé et qui l'entraînent plus sûrement vers le fond du Tiers ou du Quart monde.

L'idéologie de cette politique méthaphisique est comme par hasard de nature ultra-chrétiene. Le refus des concessions pourrait en effet être compris comme une expression logique, bien que fanatique, de l'idolâtrie de la pauvreté et du dégout de tout ce qui est riche. Il s'agit pourtant d'une idéologie au service des intérêts matérialistes de la société, et il est par conséquent tout à fait absurde de maintenir la foi en une politique qui approfondi systématiquement la pauvreté et la misère. Dans cette situation absurde, les moyens politiques de l'auto-réalisation sociale, deviennent les buts, et par conséquent on attend de la société de servir et de maintenir cette politique absurde. Si, par contre, l'affirmation de Stefan Korosec n'est pas sincère et tend de façon machiavélique à endormir les soupçons anti-européens d'une partie de l'establishment politique yougoslave - en ce cas là, cette "vue sur le monde" y reconnait incontestablement l'expression d'une stratégie fausse, inappropriée à notre temps. Nous

n'avon plus le moindre temps à consacrer aux "jeux" de la politique stratégique classique, et c'est pour cette raison là qu'il est indispensable de prendre des mesures visant à atteindre les cieux appelés Europe. Sinon, la Yougoslavie est menacée de tomber dans l'enfer de la pauvreté du troisième ou quatrième degré mondial. Aujourd'hui il est plus tard que l'on pense.

Last but not least, l'histoire de l'idée européenne nous apprend que les échecs et retards sur la vois de l'unité européenne n'ont pas été provoqués seulement par l'égoïsme national, étatique ou idéologique, ou bien par une indisponibilité aux concessions qui sont nécessaires dans toutes les unions, à partir de celle du mariage jusqu'à celle de la CEE. Il est nécessaire aussi de souligner que Stefan Korosec a lui-même indirectement posé la question sur son propre jugement, en déclarant devant les journalistes étrangers que le problème de l'association de la Yougoslavie à la CEE n'est pas de nature politique, mais économique. Cette déclaration est illogique en soi, puisque le fond de la catastrophe ou de la crise économique yougoslave est conditionné dans son résultat par le régime politique. C'est pour cette raison que la conclusion indéniable est que l'obstacle premier et fondamental à une association de la Yougoslavie à la CEE est de nature politique. Dans le meilleur des cas, l'animosité de l'homme politi

que yougoslave typique à l'égard de l'idée de réjoindre la CEE émane de sa propre évaluation quant à ses incapacités ou inaptitudes à réaliser une telle idée. Cette conviction est parfois déclarée publiquement dans des termes ironiques et cyniques, suivant la formule bien connue: (bien vérifier les quatre lignes suivantes) "Quelqu'un pense qu'il soit suffisant de dire: je vous prie de me donner un ticket pour entrer dans le Marché commun". Mais ce n'est pas comme ça. Vous savez que même si on demande un ticket, ce qui est en question c'est ce qu'on aura comme réponse.

"Un ticket pour la CEE, s'il vous plaît"

D'après les canons de la culture politique européenne, après le soupçon en ses propre capacités, l'homme politique n'a que le choix de renoncer et de transmettre les instruments politiques à ceux qui sont suffisament audacieux et capables de chercher et d'obtenir "le ticket". Malheuresement, ces canons de la culture politique ne sont pas valables sur la scène politique yougoslave. Un des obstacles essentiels au retour de la Yougoslavie en Europe (hommage aux exceptions) réside dans l'existence d'un type dominant d'homme politique yougoslave, qui revêt les caractéristiques anti-culturelles, anti-européennes et anti-civilisées. C'est un type de gens tout-à-fait spécial, artificiellement formé après une sélection longue et faussée, suivant des critères d'aptitude moralo-politique au lieu de ceux d'aptitude professionelle. Contrairement à l'aptitude professionelle qui est facile à déterminer selon des critères précis, la catégorie de l'aptitude moralo-politique est très ouverte à toute sorte d'expressions de mau

vaise foi, à des raisons d'intérêt très basses et même criminelles, comme en témoignent d'ailleurs les affaires de plus en plus nombreuses comme par exemple celle de "Neum", "Agrocommerce", "La Banque de Ljubljana". Tous les protagonistes de ces affaires disposent des meilleures appréciations quant à leurs aptitudes "moralo-politiques".

Il est évident, même pour un aveugle, que ce système de sélection perturbé des cadres, privilégie le pire "matériel humain", et écarte en même temps les gens de qualité, l'élite, avec comme résultat, combiné à la politique de l'absurde, les conséquences catastrophique connues de tout le monde. Ceux qui font preuve de réticences à l'égard de toutes les initiatives en faveur du retour de la Yougoslavie en l'Europe savent bien que celui-ci implique l'établissement d'un ordre et l'établissment d'une échelle de valeur normale, de la culture et de la civilisation, et qu'ils seront par conséquent privés des privilèges et du pouvoir, et mis à leur place appropriée.

La peur des "appels"

Dans cet établissement (institution) européen par exemple, un homme politique soupçonné d'être mélé, même indirectement et sans volonté expresse, à une affaire criminelle, se demet et se met à la disposition des organes judiciares. Dans notre système rempli d'absurdités comme en témoigne justement l'affaire "Neum", malgré des faits criminels évidents, on a même fabriqué des lois pour légaliser le vol, les juges qui ont instruit l'affaire, restent les bras croisés, tandis que les suspects discutent avec leurs accusateurs aux tribunes idéologiques de leur culpabilité moralo-politique, et ces accusateurs n'étant pas qualifiés juridiquement ne sont donc pas compétents pour s'en occuper.

De l'autre côté de ce système absurde, au Kosovo, le plus haut responsable au Secrétariat des affaires intérieures se plaint de ne pas être en mesure de découvrir ceux qui prirent l'initiative des dernières démonstrations contre-révolutionaires tenues au Kosovo, parce que sa marge de manoeuvre se limite aux activités des groups illégaux. Cette déclaration signifie indiscutablement que ceux qui prirent l'initiative des démonstrations sont des gens des structures officielles socio-politiques, autrement dit des hommes jouissant d'une aptitude "moralo-politique". La police est ainsi incapable d'affronter cette question puisque sa compétence ne couvre pas un milieu dont le statut est semblable à l'extraterritorialité. C'est pour cela qu'il est compréhensible que les protestations acharnées contre "les appels" viennent de leur part. Seuls les gens dont la conscience est propre et qui disposent des qualifications et légitimations adéquates n'ont pas peur "des appels".

Sur la scène européenne au contraire chaque homme politique honnête se réjoui de figurer sur un appel parce que cela lui offre une occasion gratuite de se présenter et de faire la publicité à ses mérites et à ses résultats. En somme, "le milieu" sait bien qu'il ne peut qu'attendre des "jours noirs" dans la maison commune européenne, et c'est pour cette raison qu'il essaye à tout prix d'empêcher les tentatives en vue d'un retour de la Yougoslavie en Europe, nourissant en même temps l'envie de faire de la Yougoslavie un espace d'ombre à l'instar des despotes orientaux et au profit des intérêts égoistes et anti-européens.

Le narcicisme politique italien

Les trois sujets sur lesquels s'achèvent la dernière phrase correspondent à la rupture de l'exposé sur les ordinateurs "Olympia", provoquée par un coup de fil au coeur de la nuit. De l'autre côté de la ligne de la chambre 122 de l'Hotel MOSKVA à Belgrade, j'ai entendu la voie agréable et amicale de Marco PANNELLA, la grande vedette et l'acrobate de l'arène européenne, le leader du Parti Radical Transnational.

- "Allo, Dragos, t'as entendu ce que Korosec disait ? Et tu te rappelles ce que je t'ai dit, la dernière fois qu'on s'est vu ? n'est-ce pas que j'avais raison ? J'ai été convaincu qu'il y aurait bientôt sur la scène politique yougoslave un mouvement favorable à l'orientation vers la CEE et même une volonté de rejoindre la Communauté; et toi tu t'en doutais !"

Bien que je me souvienne que je ne m'en doutais pas du tout, je donne raison à Marco PANNELLA pour lui faire plaisir. Je sais bien que PANNELLA, comme un vrai italien typique aime bien s'admirer lui-même dans son miroir de narciciste. D'ailleurs son succès dans l'arène politique - des Piazza italiennes où il a eu beaucoup de victoires comme le protagoniste d'avant-garde d'un mouvement moderne d'alternatives - au Parlement européen où il s'est battu pour les intérêts de la Yougoslavie et où il est même maintenant le candidat pour exercer la fonction de ??? - supporté par les communistes et socialistes ainsi que par les nombreux protagonistes de la culture européenne comme les lauréat du Prix Nobel Levi Montalcini, comme Vassily Léontief ou bien Eugène Ionesco, proviennent d'une grande partie de l'énergie de narcicisme et de charisme. C'est de là que provient la popularité média de PANNELLA qui lui permet une influence beaucoup plus grande que celle constituée par le capital en voix et en nombre du Parti radi

cal.

A Belgrade, du Centre de la Presse Internationale jusqu'au salon de l'Hotel MOSKVA Marco PANNELLA a donné plusieurs conférences de presse pleines d'effets au cours desquelles il a d'ailleurs exprimé son étonnement quant à la décision du Conseil Exécutif de ne pas permettre formellement au Parti Radical Transnational de tenir son congrès annoncé pour le 4 janvier à Zagreb.

D'après l'avis modeste du rédacteur de ces lignes le métier qui s'appelle la politique offre au moins mille formules pour refuser de façon élégante l'hospitalité au Congrès en question. Bien au contraire on a choisi les pires formules possibles, ce qui signifie un analphabétisme total qui indirectement renforce devant le monde la réputation d'une Yougoslavie, pays sans vraie liberté et sans liberté légale.

En bref, d'abord le porte-parole du Conseil Exécutif yougoslave annonçait qu'il n'y avait aucun obstacle pour tenir le Congrès, mais qu'il n'était pas désirable que le Congrès d'un parti étranger ait lieu en Yougoslavie.

PANNELLA qui a une formation juridique a donné une conclusion impeccable en expliquant que le déroulement du Congrès ne va pas à l'encontre de la loi, étant donné la disposition universelle qui stipule que tout ce qui n'est pas défendu est donc permis, d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'un parti étranger mais d'un parti transnational qui a d'ailleurs une centaine de membres parmi les yougoslaves. PANNELLA a également mobilisé le Parlement Européen et cinquante parlementaires ont ainsi envoyé un appel adressé au Conseil Exécutif Yougoslave lui demandant d'écarter les malentendus et de rendre possible la tenue du Congrès. Un appel particulier était envoyé par M.Ionesco : "La Yougoslavie peut et doit être la première étape de ce nouveau processus d'intégration européenne: il s'agit de l'avenir des Etats-Unis d'Europe mais aussi bien de l'avenir de la Yougoslavie et n'importe quel pays européen qui sera dans le prochain avenir appeler à choisir entre l'adhésion à une "maison commune" et son propre isolement éco

nomique, culturel et politique.

Le Congrès du Parti Radical, ce parti transnational et nonviolent

représente une occasion appréciable de dialogue. Pour cette raison nous sommes convaincus qu'il n'y a pas de place pour les barrières mais qu'il faut bien au contraire en profiter. Dans ce sens nous nous adressons, avec confiance, aux autorités et au peuple yougoslave, persuadés qu'ils sauront donner un bon exemple de "visionnaire ???" du courage et d'ouverture."

(vedere testo dell'appello)

La cour de Rassel (???) appelle Mikulic

D'après PANNELLA, Branko Mikulic a envoyé aux parlemantaires une réponse dans laquelle il explique qu'il n'existe pas de possibilité légale de tenir le Congrès d'un parti national ou transnational. Pour l'esprit européen formé dans l'Ecole aristotélienne de la logique, cette réponse va de façon flagrante à l'encontre de la première réponse et comporte en plus une menace aux membres du Parti Radical en Yougoslavie. A la conférence de presse tenue au salon de l'Hotel MOSKVA, PANNELLA a été interrogé sur la manière dont il compte mener le dialogue avec Mikulic puisque celui-ci a été, à l'époque, accusé d'avoir violé les droits de l'Homme en Bosnie-Herzegovine. PANNELLA a généreusement répondu que le Parti Transnational est ouvert à tout le monde. Quelqu'un à côté a doucement ajouté: "d'autant plus qu'il y a des gens de la Mafia parmi ces membres".

La plus grande gifle a été celle infligée par Alexandar Sekulovic, le chef de section pour la coopération internationale qui a déclaré entre autres: "il ne faut pas oublier qu'une des caractéristiques importantes du Parti Radical est un anticommunisme profondémment enraciné, emballé d'une couverture de pacifisme, de nonviolence et de l'idée de la société civile. D'ailleurs ce n'est pas la première fois qu'ils essayent de destabiliser la Yougoslavie". Du point de vue européen une telle déclaration annonce soit l'analphabétisme politique définitif, soit un résidu dogmatique de l'époque préhistorique stalinienne. Car il est bien connu que le Parti Communiste italien collabore étroitement avec le Parti Radical Transnational justement avec lequel il partage beaucoup d'objectifs et d'actions.

Il est nécessaire d'ajouter que le rédacteur de ces lignes n'est membre d'aucun parti ni de ce Parti Radical Transnational et qu'il est dégouté par tout les systèmes multipartis. A vrai dire, beaucoup de sujets de ce Parti me sont extrêmement inattrayants à partir de la nature synchrétique ??? de ces idées banales jusqu'à la bataille pour la légalisation de l'avortement. Néanmoins la déclaration que ce Parti minuscule et pittoresque peut "destabiliser" la Yougoslavie me paraît pour le moins ridicule. Je crois que le Congrès pourrait contribuer au tourisme aussi bien qu'il aurait pu offrir une bonne publicité mondiale positive et gratuite à la Yougoslavie, en en contrebalançant ainsi l'image négative.

Last but not least, le Congrès pourrait faire plaisir aux sexualités domestiques en leur donnant l'occasion de toucher les seins de Cicciolina. Et si ce Congrès n'est vraiment pas bien venu il aurait fallu confier à des personnes qualifiées le soin de donner une explication au refus puisque la non-explicitation de ce refus pourrait susciter le soupçon que cela ait été exprès pour faire baisser encore la réputation de la Yougoslavie et aggraver sa position devant la CEE.

 
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